Test du Sony a7III – 2ème partie : 15 jours en Asie du Sud-Est.

Cela fait désormais trois mois que le Sony A7III est dans mon sac photo. C’est l’occasion d’un retour un peu plus appuyé, qui vient faire suite à ma première prise en main. Le boitier m’a notamment accompagné lors d’un voyage de deux semaines en Asie du Sud-Est, où j’ai pu visité, excusez du peu, Komodo et Bornéo !

Voici une liste non exhaustive des points les plus importants que j’ai relevé après ces trois premiers mois. Les photos qui illustrent l’article ont été ramenées de ce voyage.

Autonomie

Je confirme donc, c’est le jour et la nuit avec les versions précédentes. L’autonomie est nettement augmentée, plus que doublée c’est certain. J’ai acheté, avant de partir, plusieurs batteries no-name par peur de manquer (nous avons passé plusieurs jours sur un bateau sans source d’électricité)… J’aurai pu venir deux fois moins chargé ! Bref, c’est vraiment top, un souci en moins quand on voyage.

Megophrys nasuta

Le mode 100% silencieux

C’est bluffant, tout simplement. Le boitier est 100% silencieux, plus aucun bruit, rien. A tel point que personne ne peut savoir si vous êtes en train de faire une photo ou pas… C’est carrément déroutant !

Varanus komodoensis

La qualité d’image

Je ne pensais pas que la différence serait visible entre l’a7ii et l’a7iii. Pourtant, elle est là : la dynamique est encore supérieure, et la montée en iso nettement meilleure… Mais où s’arrêteront-ils ? Les deux capteurs peuvent être comparés sur DXO.

Trimeresurus sumatranus

Réactivité, mémoire tampon, performance du processeur

A mon sens, l’a7iii marque la fin des dernières limites des hybrides, qui les limitaient alors dans certaines conditions face aux reflex : c’est-à-dire la réactivité générale. Le boîtier montre là aussi un pas en avant énorme comparé à l’a7ii. Les éventuels lags de fonctionnement ont disparu, l’appareil est très réactif, il est capable d’engloutir les rafales, limités seulement par la vitesse de la carte. Du beau boulot !

Trimeresurus sabahi en train de bailler

Au final, pas grand chose à rajouter de plus, si ce n’est que ce boîtier est un super couteau suisse qui se fait oublier, et permet de se concentrer pleinement sur le travail photographique. Voici une sélection des meilleurs clichés que j’ai pu ramener du voyage… Un voyage fructueux !

Gonocephalus liogaster

Phyllomimus sp.

Megophrys nasuta

Calliophis bivirgatus

Boiga cynodon

Coremiocnemis cunicularia

Gonocephalus doriae

Varanus komodoensis

Varanus komodoensis

Varanus komodoensis

Gonocephalus liogaster

Tropidolaemus subannulatus

Tropidolaemus subannulatus

Pulchrana picturata

Trimeresurus borneensis

Polypedates otilophus

Trimeresurus sabahi

Trimeresurus malcolmi

Garthius chaseni

Aplopeltura boa

Nyctixalus pictus

Phyllomimus sp.

Platerodrilus sp.

Pyrops sultanus

Rhacophorus pardalis

Varanus komodoensis

À propos de l'auteur: Matthieu Berroneau

4 commentaires à «Test du Sony a7III – 2ème partie : 15 jours en Asie du Sud-Est.»

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  1. Oudin Vincent - le 4 juillet 2019 à 23 h 00 min Répondre

    Bonjour
    Bravo pour vos images, ça fait rêver …
    Petite question sur le Sony A7 III, comment se comporte-t-il par temps de pluie ou avec beaucoup d’humidité?

    Cordialement

    Vincent

    • Matthieu Berroneau - le 5 juillet 2019 à 19 h 45 min Répondre

      Merci ;-).
      RAS pour l’humidité, aucun souci.
      Pour la pluie, pour l’instant je n’ai pas eu l’occasion de longues sessions sous la pluie. Sous les pluies assez courtes qu’il a eu à subier, RAS non plus.
      Matthieu

  2. Mathieu - le 8 janvier 2022 à 13 h 41 min Répondre

    Bonjour, merci pour ce comparatif fort intéressant ! Par curiosité, quels objectifs avez-vous utilisés pour les photos animalières de cet article svp ? Elles sont magnifiques. Merci d’avance !

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